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13 heures avant

10e RALLYE VHC DES BAUGES –2020/2025 – Sermondadaz récompensé

2020 - La version VHC du rallye des Bauges fait recette avec pas moins de 22 équipages sur la liste de départ et un seul des quatre précédents vainqueurs, le tenant du titre David Mongilardi. L’épreuve s’internationalise avec trois équipes suisses et quelques nouvelles têtes. Blanchard et Sermondadaz s’imposeront vite comme les patrons de l’épreuve sur leurs voitures identiques : une Ford Escort RS 1800 MKII tandis que Mongilardi perdait tout espoir de bien figurer en concédant 13’23’’ dans l’ES 2. Mais c’est un coup du sort, ou plutôt une décision du collège des commissaires en défaveur de Sermondadaz (une minute de pénalité dans l’ES 7) qui scellera le sort du rallye en faveur de Blanchard.

2021 - Troisième en 2019, dauphin de Blanchard en 2020 après avoir écopé d’une minute de pénalité dans l’ultime ES alors que la victoire lui était promise, Philippe Sermondadaz touche enfin au but. A l’heure de s’élancer il entame son 124e rallye, son 15e en VHC car sa carrière débutée en 1990 au Rochois sur une Sunbeam—à laquelle il restera fidèle jusqu’en 2001— l’a conduit a plus de 40 rallyes différents sur 8 véhicules mais essentiellement 3 (la Sunbeam (44 départs) la BMW 318 (47) et la Subaru Imprezza (22). C’est avec une Escort RS qu’il découvre le VHC en 2018 aux Bornes où il s’impose l’année suivante. Son succès aux Bauges sera suivi d’une victoire à Seyssel (sa 5e).

2022 - Plus rien n’arrête Philippe Sermondadaz. Souvent malchanceux aux Bauges le pilote de l’Escort était parvenu à vaincre le signe indien en s’imposant enfin en 2021. Associé pour la première fois à sa fille Jessica, Philippe a signé pour l’occasion son 11e podium—en 13 départs— et surtout sa 7e victoire depuis les Bornes en 2019 où il avait remporté le tout premier succès d’une carrière débutée au Rochois en 1990. Un succès que seul Hugo Bonfils a été en mesure de lui contester jusqu’à l’ultime chrono. Accusant 4’’1 de retard sur la ligne de départ de l’ES 7 le Chambérien était trahi par sa mécanique dans la dernière spéciale pourtant ramenée de 6,2 à 2,9 kilomètres.

2023 - L’histoire est doublement belle. Emouvante aussi. Après un break de plus de 8 ans mais fort de ses podiums aux Bornes (3e) et au Trièves (2e) pour ses premiers tours de roue en VHC aux commandes d’une R11 Turbo, Laurent Caro se rangeait samedi au départ parmi les favoris de cette 9e édition du rallye VHC des Bauges. Absent du rendez-vous savoyard (6 départs) depuis 1999 (18e au volant d’une R5 GT Turbo) le Haut-Savoyard, basé à Mûres, au pied du Semnoz, en restait avant tout le 2e pilote lauréat de sa version moderne (en 1987 au volant d’une Visa 1000 Pistes) et surtout son plus jeune vainqueur (19 ans). « J’avais doublement à cœur de gagner ce week-end. Pour Victoire ma petite fille née samedi à midi avec un mois d’avance et pour Nathalie (Million, sa co-pilote) originaire de Cusy et elle aussi de retour dans les Bauges après ses expériences de 1991 aux côtés de Dominique Lavy et de 1992 avec Sylvie Barret (44e et 1er équipage féminin).

2024 – Finale de la Coupe de France des rallyes VHC oblige, l’épreuve n’est pas organisée

2025 – 24 équipages se présenteront samedi au départ dont deux anciens vainqueurs : Caro (2023) et Sermondadaz (2021-2022) et des habitués au premier rangs desquels Patrick Narses (3e en 2017, 2e en 2018, 2019 et 2023), Christian Allard (3e en 2018, 2020, 2022). A une semaine de la finale de la Coupe de France à Lisieux, Patrice Bonnefond honorera son 25e départ aux bauges. Non pas avec la Porsche mais en VHC au volant d’une R5 GT Turbo comme en 1988 (9e, 1er classe N5).

A suivre : Entretien avec.. Stanislas Miguet : " L'héritage du Monte-Carlo"

Rallye des BaugesLigue du Sport Automobile Rhône-AlpesASAC de Savoie
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10e RALLYE VHC DES BAUGES –2020/2025 – Sermondadaz récompensé

2020 - La version VHC du rallye des Bauges fait recette avec pas moins de 22 équipages sur la liste de départ et un seul des  quatre précédents vainqueurs, le tenant du titre David Mongilardi. L’épreuve s’internationalise avec trois équipes suisses et quelques nouvelles têtes. Blanchard et Sermondadaz s’imposeront vite comme les patrons de l’épreuve sur leurs voitures identiques : une Ford Escort RS 1800 MKII tandis que Mongilardi perdait tout espoir de bien figurer en concédant 13’23’’ dans l’ES 2. Mais c’est un coup du sort, ou plutôt une décision du collège des commissaires en défaveur de Sermondadaz (une minute de pénalité dans l’ES 7) qui scellera le sort du rallye en faveur de Blanchard. 

2021 - Troisième en 2019, dauphin de Blanchard en 2020 après avoir écopé d’une minute de pénalité dans l’ultime ES alors que la victoire lui était promise, Philippe Sermondadaz touche enfin au but. A l’heure de s’élancer il entame son 124e rallye, son 15e en VHC car sa carrière débutée en 1990 au Rochois sur une Sunbeam—à laquelle il restera fidèle jusqu’en 2001— l’a conduit a plus de 40 rallyes différents sur 8 véhicules mais essentiellement 3 (la Sunbeam (44 départs) la BMW 318 (47) et la Subaru Imprezza (22). C’est avec une Escort RS qu’il découvre le VHC en 2018 aux Bornes où il s’impose l’année suivante. Son succès aux Bauges sera suivi d’une victoire à Seyssel (sa 5e).

2022 - Plus rien n’arrête Philippe Sermondadaz. Souvent malchanceux aux Bauges le pilote de l’Escort était parvenu à vaincre le signe indien en s’imposant enfin en 2021. Associé pour la première fois à sa fille Jessica, Philippe a signé pour l’occasion son 11e podium—en 13 départs— et surtout sa 7e victoire depuis les Bornes en 2019 où il avait remporté le tout premier succès d’une carrière débutée au Rochois en 1990.  Un succès que seul Hugo Bonfils a été en mesure de lui contester jusqu’à l’ultime chrono. Accusant 4’’1 de retard sur la ligne de départ de l’ES 7 le Chambérien était trahi par sa mécanique dans la dernière spéciale pourtant ramenée de 6,2 à 2,9 kilomètres. 

2023 - L’histoire est doublement belle. Emouvante aussi. Après un break de plus de 8 ans mais fort de ses podiums aux Bornes (3e) et au Trièves (2e) pour ses premiers tours de roue en VHC aux commandes d’une R11 Turbo, Laurent Caro se rangeait  samedi  au départ parmi les favoris de cette 9e édition du rallye VHC des Bauges. Absent du rendez-vous savoyard (6 départs) depuis 1999 (18e au volant d’une R5 GT Turbo) le Haut-Savoyard, basé à Mûres, au pied du Semnoz, en restait avant tout le 2e pilote lauréat de sa version moderne (en 1987 au volant d’une Visa 1000 Pistes) et surtout son plus jeune vainqueur (19 ans).  « J’avais doublement à cœur de gagner ce week-end. Pour Victoire ma petite fille née samedi à midi avec un mois d’avance et pour  Nathalie (Million, sa co-pilote) originaire de Cusy et elle aussi de retour dans les Bauges après ses expériences de 1991 aux côtés de Dominique Lavy et de 1992 avec Sylvie Barret (44e et 1er équipage féminin).

2024 – Finale de la Coupe de France des rallyes VHC oblige, l’épreuve n’est pas organisée

2025 – 24  équipages se présenteront samedi au départ dont deux anciens vainqueurs : Caro (2023) et Sermondadaz (2021-2022) et des habitués au premier rangs desquels Patrick Narses (3e en 2017, 2e en 2018, 2019 et 2023), Christian Allard (3e en 2018, 2020, 2022). A une semaine de la finale de la Coupe de France à Lisieux, Patrice Bonnefond honorera son 25e départ aux bauges. Non pas avec la Porsche mais en VHC au volant d’une R5 GT Turbo comme en 1988 (9e, 1er classe N5). 

A suivre : Entretien avec.. Stanislas Miguet :  Lhéritage du Monte-Carlo 

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13 heures avant

10e RALLYE VHC DES BAUGES –2015/2019 – Philippe pour l’histoire

2015 - Les épreuves VHC ont le vent en poupe et c’est pourquoi les organisateurs du rallye des Bauges décident à leur tour d’accompagner leur version « moderne » d’une épreuve réservée aux Véhicules Historiques de Compétition. Sept équipages prennent le départ de l’édition 2015 dont deux Porsche, deux Alpine A 310, deux 104 ZS et une Ford Escort.
Comme beaucoup de pilote Alain Philippe s’est reconverti en VHC après une carrière en moderne. La sienne durera de 1984 à 1991 au volant de Golf et 205 GTi avec lesquelles il anima la classe N3 notamment à l’Epine 90 et à Faverges 91. En 2014 il tente l’aventure en VHC avec une Porsche 930 Turbo avec une 5e place aux Monts et Coteaux. En 2015 il signe sa première victoire au régional Mont-Blanc historique puis prend la 2e place aux Bornes puis à Morzine avant d’inaugurer le palmarès de la version VHC des Bauges. Il disputera près d’une trentaine d’épreuves jusqu’en 2018 dont sept avec succès.

2016 - On ne l’imaginait pas ailleurs que derrière le volant d’une Renault 8 Gordini, celle qui avait fait son succès de 98 à 2010 uniquement sur les routes du rallye des Bauges. Resté fidèle à Renault c’est une Alpine A 310 qu’il pilote désormais, avec succès, (victoires au Mont-Blanc 2014 et aux Bornes 2015) sur les épreuves VHC.. Battu par Philippe en 2015 aux Bauges, Lebghil est de retour plus ambitieux que jamais et revanchard aussi après ses mésaventures (embrayage) aux Bornes. Associé à Marie-Laure Bambust, Il signe là son 3e succès en VHC.

2017 - Pas plus que lors de la précédente édition Frédéric Lebghil n’a laissé planer le doute quant à sa victoire et sa volonté de prolonger son bail dans les Bauges. Du coup c’est derrière qu’il a fallu chercher un peu de spectacle non pas pour la 2e place elle aussi rapidement promise à la Porsche 930 d’Alain Philippe mais pour savoir qui de Patrick Narses (Fiesta MK1) ou de Michel Bonfils (306 Maxi) complètera le podium. Réduite comme la version moderne à cinq secteurs chronométrés, l’épreuve a finalement fait son choix dans l’ES 4 lorsque Michel Bonfils rendait son carnet achevant la course comme voiture ouvreuse.

2018 - On avait pris l’habitude de le voir au volant de Lancia Delta Intégrale, de 306 Maxi, de Subaru Imprezza ou encore de Mini Cooper, sillonner les routes du championnat de France ou d’épreuves mythiques comme le rallye d’Antibes, de la Montagne noire ou en son temps du Monte-Carlo. Le retrouver au départ d’une épreuve VHC et à la fois inhabituelle et plutôt sympathique. A la faveur de chronos qui l’auraient placé dans le top 35 du « moderne » Michel Bonfils va très rapidement prendre les commandes de l’épreuve pour devancer au final la Fiesta de Patrick Narses de 24’’3 et la 104 ZS2 de Christian Allard de 54’’8. Un coup d’essai transformé en coup de maître.

2019 - On avait mis une piécette sur Narses et sa Fiesta MK1 et l’on avait plutôt bien vu en le voyant signé le chrono de référence dans l’ES 1 avec 4’’5 d’avance sur la Golf de Mongilardi. Mais c’était sans compter sur la belle régularité tout au long du week-end du néo-pilote de VHC (8e rallye) passé tout près de la victoire au Mont-Blanc, à la Matheysine et 3e au Picodon. Sans signer le moindre scratch du week-end, que se partagèrent Patrick Narses (3) et Philippe Sermondadaz (4) David Mongilardi ne quittait pas la tête du rallye de l’ES 2 à l’arrivée.
Rallye des BaugesLigue du Sport Automobile Rhône-Alpes
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10e RALLYE VHC DES BAUGES –2015/2019 – Philippe pour l’histoire

2015 - Les épreuves VHC ont le vent en poupe et c’est pourquoi les organisateurs du rallye des Bauges décident à leur tour d’accompagner leur version « moderne » d’une épreuve réservée aux Véhicules Historiques de Compétition. Sept équipages  prennent le départ de l’édition 2015 dont deux Porsche, deux Alpine A 310, deux 104 ZS et une Ford Escort. 
Comme beaucoup de pilote Alain Philippe s’est reconverti en  VHC après une carrière en moderne. La sienne  durera de 1984 à 1991 au volant de Golf et 205 GTi avec lesquelles il anima la classe N3 notamment à l’Epine 90 et à Faverges 91.  En 2014 il tente l’aventure en VHC avec une Porsche 930 Turbo avec une 5e place aux Monts et Coteaux.  En 2015 il signe sa première victoire au régional Mont-Blanc historique puis prend la 2e place aux Bornes puis à Morzine avant d’inaugurer le palmarès de la version VHC des Bauges. Il disputera près d’une trentaine d’épreuves jusqu’en 2018 dont sept avec succès.

2016 - On ne l’imaginait pas ailleurs que derrière le volant d’une Renault 8 Gordini, celle qui avait fait son succès de 98 à 2010 uniquement sur les routes du rallye des Bauges.  Resté fidèle à Renault c’est une Alpine A 310 qu’il pilote désormais, avec  succès, (victoires au Mont-Blanc 2014 et aux Bornes 2015) sur les épreuves VHC.. Battu par Philippe en 2015 aux Bauges, Lebghil est de retour plus ambitieux que jamais et revanchard aussi après ses mésaventures (embrayage) aux Bornes.  Associé à Marie-Laure Bambust, Il signe là son 3e succès en VHC. 

2017 - Pas plus que lors de la précédente édition Frédéric Lebghil n’a laissé planer le doute quant à sa victoire et sa volonté de prolonger son bail dans les Bauges. Du coup c’est derrière qu’il a fallu chercher un peu de spectacle non pas pour la 2e place elle aussi rapidement promise à la Porsche 930 d’Alain Philippe mais pour savoir qui de Patrick Narses (Fiesta MK1) ou de Michel Bonfils (306 Maxi) complètera le podium. Réduite comme la version moderne à cinq secteurs chronométrés, l’épreuve a finalement fait son choix dans l’ES 4 lorsque Michel Bonfils rendait son carnet achevant la course comme voiture ouvreuse. 

2018 - On avait pris l’habitude de le voir au volant de Lancia Delta Intégrale, de 306 Maxi, de Subaru Imprezza ou encore de Mini Cooper, sillonner les routes du championnat de France  ou d’épreuves mythiques comme le rallye d’Antibes, de la Montagne noire ou en son temps du Monte-Carlo. Le retrouver au départ d’une épreuve VHC et à la fois inhabituelle et plutôt sympathique. A la faveur de chronos qui l’auraient placé dans le top 35 du « moderne » Michel Bonfils va  très rapidement prendre les commandes de l’épreuve pour devancer au final la Fiesta de Patrick Narses de 24’’3 et la 104 ZS2 de Christian Allard de 54’’8. Un coup d’essai transformé en coup de maître. 

2019 - On avait mis une piécette sur Narses et sa Fiesta MK1 et l’on avait plutôt bien vu en le voyant signé le chrono de référence dans l’ES 1 avec 4’’5 d’avance sur la Golf de Mongilardi.  Mais c’était sans compter sur la belle régularité tout au long du week-end du néo-pilote de VHC (8e rallye) passé tout près de la victoire au Mont-Blanc, à la Matheysine et 3e au Picodon. Sans signer le moindre scratch du week-end,  que se partagèrent Patrick Narses (3) et Philippe Sermondadaz (4)  David  Mongilardi ne quittait pas la tête du rallye de l’ES 2 à l’arrivée.
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2 jours avant

40e RALLYE DES BAUGES - 2021/2024 – Bochatay de père en fils

2021 – Après une découverte victorieuse de la Chartreuse, une 8e place au Mont-Blanc, Kevin Bochatay, venait défendre son titre et peaufiner ses réglages avant de se rendre à Chateauroux pour la finale de la Coupe de France. Le moins que nous puissions dire, c’est qu’il a trouvé la bonne formule. À l’image de la course chartrousine, il n’a laissé aucune miettes à ses adversaires en signant tous les temps de référence (7/7).

2022 - Il n’y a pas qu’en terme de quantité (194 engagés, 183 partants) que le rallye des Bauges (37e du nom) a fière allure. En qualité aussi avec pas moins de dix-sept R2 au départ, trois Suisses et deux anciens vainqueurs: Giraldo et Bochatay totalisant à eux deux 11 victoires au pied de l’Arcalod. On l’avait quitté forcément déçu d’avoir dû renoncer dans l’ES 10 du rallye du Mont-Blanc alors qu’il occupait une belle 7e place avec la DS3 de Habouzit et la Polo de Wagner dans le viseur. On l’a retrouvé tout sourire à Aillon-le-Jeune devenu depuis trois ans « son » jardin. Après le règne quasi sans partage d’un certain Michel Giraldo (9 victoires) le rallye des Bauges s’est trouvé un nouveau taulier en la personne de Kevin Bochatay

2023 - 8 octobre 2011, après sept rallyes dans le baquet de droite de son frère Grégory, Laurent Pellier, 16 ans, prend le départ du rallye des Bauges aux côtés d’Eric Stedile dans une 106 XSI menée sur le podium (3e) de la classe A5/k. 7 octobre 2023, le plus jeune des frangins Pellier s’aligne au départ du rallye des Bauges mais derrière le volant d’une Skoda R5 du Team MCB et dans la peau d’un candidat à la victoire finale.
En douze ans, un peu dans l’ombre des Loeb, Ogier, Fourmaux, Loubet, Bonato ou Astier au cours des dernières années, le Clusien s’est pourtant imposé au fil des saisons comme une véritable référence du rallye international et du 38e rallye des Bauges.

Le chiffre 8 : Les succès de classe pour les équipages de l’ASAC de Savoie : Patrice Bonnefond (R4) Loïck Mercier (R2), Pierre Hudry (F2/14). Thomas Parisi (F2/13), Sébastien Vincenzi (F212), Alex Duc (A6), Nicolas Vivie (N4), Olivier Miguet (R1).

2024 - 39e du nom, le rallye des Bauges a tenu toutes ses promesses et couronné un Kevin Bochatay au sommet de son art. Au volant de la Polo du team italien Roger Tunning conduite avec succès l’an passé sur les routes des Bornes et de Chartreuse et à la 7e place du Mont-Blanc, le pilote de Thyez signe un nouveau sans faute s’offrant les sept chronos et un 4e succès dans les Bauges.

L’info - Avec quatorze voitures au départ, le premier challenge A6/k a lui aussi connu la réussite. Si les frangins Joram, Hugo Bonfils, Maxime Chagot, Pascal Josserand avaient, pour l’occasion, délaissé leurs montures habituelles, Kevin Duc a mis à profit son « expérience » (7e départ) de la Clio S1600 (9e en Chautagne en 2023, 10e au Trièves en 2022) pour faire la course en tête et devancer, au final, Thibault Joram et Damien Gillet.

A suivre : 10e rallye VHC des Bauges 2015/2025 – Philippe pour l’histoire
Rallye des BaugesLigue du Sport Automobile Rhône-Alpes
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40e RALLYE DES BAUGES - 2021/2024 – Bochatay de père en fils

2021 – Après une découverte victorieuse de la Chartreuse, une 8e place au Mont-Blanc, Kevin Bochatay, venait défendre son titre et peaufiner ses réglages avant de se rendre à Chateauroux pour la finale de la Coupe de France. Le moins que nous puissions dire, c’est qu’il a trouvé la bonne formule. À l’image de la course chartrousine, il n’a laissé aucune miettes à ses adversaires en signant tous les temps de référence (7/7).

2022 - Il n’y a pas qu’en terme de quantité (194 engagés, 183 partants) que le rallye des Bauges (37e du nom) a fière allure. En qualité aussi avec pas moins de dix-sept R2 au départ, trois Suisses et deux anciens vainqueurs: Giraldo et Bochatay totalisant à eux deux 11 victoires au pied de l’Arcalod. On l’avait quitté forcément déçu d’avoir dû renoncer dans l’ES 10 du rallye du Mont-Blanc alors qu’il occupait une belle 7e place avec la DS3 de Habouzit et la Polo de Wagner dans le viseur. On l’a retrouvé tout sourire  à Aillon-le-Jeune devenu depuis trois ans « son » jardin. Après le règne quasi sans partage d’un certain Michel Giraldo (9 victoires) le rallye des Bauges s’est trouvé un nouveau taulier en la personne de Kevin Bochatay

2023 - 8 octobre 2011, après sept rallyes dans le baquet de droite de son frère Grégory, Laurent Pellier, 16 ans, prend le départ du rallye des Bauges  aux côtés d’Eric Stedile dans une 106 XSI menée sur le podium (3e) de la classe A5/k. 7 octobre 2023, le plus jeune des frangins Pellier s’aligne au départ du rallye des Bauges mais derrière le volant d’une Skoda R5 du Team MCB  et dans la peau d’un candidat à la victoire finale. 
En douze ans, un peu dans l’ombre des Loeb, Ogier, Fourmaux, Loubet, Bonato ou Astier au cours des dernières années, le Clusien s’est pourtant imposé au fil des saisons comme une véritable référence du rallye international et du 38e rallye des Bauges.   

Le chiffre 8 : Les succès de classe pour les équipages de l’ASAC de Savoie : Patrice Bonnefond (R4) Loïck Mercier (R2), Pierre Hudry  (F2/14). Thomas Parisi (F2/13), Sébastien Vincenzi  (F212), Alex Duc (A6),  Nicolas Vivie (N4), Olivier Miguet (R1).

2024 - 39e du nom, le rallye des Bauges a tenu toutes ses promesses et couronné un Kevin Bochatay au sommet de son art. Au volant de la Polo du team italien Roger Tunning conduite avec succès l’an passé sur les routes des Bornes et de Chartreuse et à la 7e place du Mont-Blanc, le pilote de Thyez  signe un nouveau sans faute s’offrant les sept chronos et un 4e succès dans les Bauges.

L’info - Avec quatorze voitures au départ, le premier challenge A6/k a lui aussi connu la réussite. Si les frangins Joram, Hugo Bonfils, Maxime Chagot, Pascal Josserand avaient, pour l’occasion, délaissé leurs montures habituelles, Kevin Duc a mis à profit son « expérience » (7e départ) de la Clio S1600 (9e en Chautagne en 2023, 10e au Trièves en 2022) pour faire la course en tête et devancer, au final, Thibault Joram et Damien Gillet.

A suivre : 10e rallye VHC des Bauges 2015/2025 – Philippe pour l’histoire
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2 jours avant

40e RALLYE DES BAUGES – 2016/2020 – Le quatre à la suite de Giraldo

2016 - Comment qualifier la saison 2016 de Michel Giraldo sinon d’exceptionnelle. 9 victoires en neuf rallyes, cinq sur la 207 S 2000 et quatre avec la Fiesta R5 déjà conduite avec succès en Chartreuse portant à 72,09 son pourcentage de victoires (31/43) au cours des quatre dernières années. L’Annécien boucle une saison parfaite (9/9) et peut s’envoler l’esprit libre pour assister son épouse sur la Diagonale des fous. A pied cette fois-ci.

L’info - Fort de son podium (3e) aux Bauges sur une Fiat Abarth, c’est à Lunvéville que Patrice Bonnefond se distingue le week-end suivant en remportant la classe F2/14 à la finale de la Coupe de France à la faveur d’une 12e place au scratch sur la 206 S16. Le pilote des Saisies termine à 2 dixièmes seulement de la 11e place occupée par Yves Pezzutti.

2017 - Toutes les conditions étaient réunies pour faire de cette 32e édition un rendez-vous d’exception. Notamment un record (à une unité près) d’engagés avec 165 voitures au départ. Tout … sauf l’impensable, l’inimaginable. Partie dans l’ES 4 en antépénultième position, la R5 GT d’Alison Josserand et Romain Mercuri venait percuter un pont et s’embrasser sous l’effet du choc, prenant au piège ses deux occupants. Pour la 2e fois de son histoire, après l’accident de 1992 qui avait coûté la vie à une jeune spectatrice de 23 ans, le rallye des Bauges était endeuillé. Une chape de plomb s’abattait sur le parc d’autant que ce jeune couple de passionnés laissait derrière lui, Ezio, un petit garçon de 13 mois.

Le fait - Ironie du sort, quelques instant auparavant la famille du rallye avait appris le décès accidentel d’Anthony Mora au rallye de Sarlat Périgord Noir. Agé de 42 ans, Mora qui fut l’une des références dans le grand Sud-Ouest durant près de 10 ans (136 départs, 62 victoires) ne disputait plus qu’un rallye par an, « son » Périgord Noir qu’il avait épinglé dix fois à son palmarès en 17 participations

2018 - Pour la première fois depuis 2001 le programme de Giraldo s’est résumé à six rallyes cette année. Au sortir du Mont-Blanc disputé sur une Mitsubishi (vainqueur de la classe N4) l’Annécien retrouve la Skoda avec laquelle il a signé une 8e victoire à la Matheysine. Les routes des Bauges n’ayant pus aucun secret pour Giraldo il signe les sept meilleurs chronos devant Ludovic Bogey et Cédric D’Amico.

Le chiffre : 23 - A la faveur d’un nouveau sans faute (7/7) Michel Giraldo a aligné vingt-trois temps scratchs consécutifs. Il est invaincu depuis l’ES 3 de l’édition 2015. Il portera même son record à 24 en signant le temps de référence dans l’ES 1 de l’édition 2019

2019 - On prend les mêmes et on recommence par rapport à l’édition 2018. A la différence près que Ludovic Bogey s’est avéré un adversaire autrement plus coriace ne cédant le leadership que dans les deux derniers secteurs chronométrés pour rentrer au parc fermé avec 3’’2 seulement de retard.

2020 - 22 et 19 ans après son père Jean-Pierre, Kevin Bochatay inscrit, à son tour, son nom au palmarès du rallye des Bauges, au terme d’un rallye qu’il a maîtrisé de bout en bout ne laissant qu’un seul scratch à la concurrence. Le rallye des Bauges qui a échappé au confinement s’est trouvé un nouveau patron
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40e RALLYE DES BAUGES – 2016/2020 – Le quatre à la suite de Giraldo

2016 - Comment qualifier la saison 2016 de Michel Giraldo sinon d’exceptionnelle. 9 victoires en neuf rallyes, cinq sur la 207 S 2000 et quatre avec la Fiesta R5 déjà conduite avec succès en Chartreuse portant à 72,09 son pourcentage de victoires (31/43) au cours des quatre dernières années. L’Annécien boucle une saison parfaite (9/9) et peut s’envoler l’esprit libre pour assister son épouse sur la Diagonale des fous. A pied cette fois-ci.

L’info - Fort de son podium (3e) aux Bauges sur une Fiat Abarth, c’est à Lunvéville que Patrice Bonnefond se distingue le week-end suivant en remportant la classe F2/14 à la finale de la Coupe de France  à la faveur d’une 12e place au scratch sur la 206 S16. Le pilote des Saisies termine à 2 dixièmes seulement de la 11e place occupée par Yves Pezzutti. 

2017 - Toutes les conditions étaient réunies pour faire de cette 32e édition un rendez-vous d’exception. Notamment un record (à une unité près) d’engagés avec 165 voitures au départ. Tout … sauf l’impensable, l’inimaginable. Partie dans l’ES 4 en antépénultième position,  la R5 GT d’Alison Josserand et Romain Mercuri venait percuter un pont et s’embrasser sous l’effet du choc, prenant au piège ses deux occupants. Pour la 2e fois de son histoire, après l’accident de 1992 qui avait coûté la vie à une jeune spectatrice de 23 ans, le rallye des Bauges était endeuillé. Une chape de plomb s’abattait sur le parc d’autant que ce jeune couple de passionnés laissait derrière lui, Ezio,  un petit garçon de 13 mois.

Le fait - Ironie du sort, quelques instant auparavant la famille du rallye avait appris le décès accidentel d’Anthony Mora au rallye de Sarlat Périgord Noir. Agé de 42 ans, Mora qui fut l’une des références dans le grand Sud-Ouest durant près de 10 ans (136 départs, 62 victoires) ne disputait plus qu’un rallye par an, « son » Périgord Noir qu’il avait épinglé dix fois à son palmarès en 17 participations

2018 - Pour la première fois depuis 2001 le programme de Giraldo s’est résumé à six rallyes cette année.  Au sortir du Mont-Blanc disputé sur une Mitsubishi  (vainqueur de la classe N4) l’Annécien retrouve la Skoda avec laquelle il a signé une 8e victoire à la Matheysine. Les routes des Bauges n’ayant pus aucun secret pour Giraldo il signe les sept meilleurs chronos devant Ludovic Bogey et Cédric D’Amico.

Le chiffre : 23 - A la faveur d’un nouveau sans faute (7/7) Michel Giraldo a aligné vingt-trois temps scratchs consécutifs. Il est invaincu depuis l’ES 3  de l’édition 2015. Il portera même son record à 24 en signant le temps de référence dans l’ES 1 de l’édition 2019

2019 - On prend les mêmes et on recommence par rapport à l’édition 2018. A la différence près que Ludovic Bogey s’est avéré un adversaire autrement plus coriace ne cédant le leadership que dans les deux derniers secteurs chronométrés pour rentrer au parc fermé avec 3’’2 seulement de retard. 

2020 - 22 et 19 ans après son père Jean-Pierre, Kevin Bochatay inscrit, à son tour,  son nom au palmarès du rallye des Bauges, au terme d’un rallye qu’il a maîtrisé de bout en bout ne laissant qu’un seul scratch à la concurrence. Le rallye des Bauges qui a échappé au confinement s’est trouvé un nouveau patronImage attachmentImage attachment+2Image attachment
2 jours avant

COUPE DE FRANCE (Finale) : 26 Rhônalpins dont 3 Savoyards à Lisieux

Le Pays d’Auge, La Normandie et Lisieux accueilleront pour la première fois de leur histoire la finale de la Coupe de France des rallyes du 16 au 18 octobre prochains. 236 équipages seront au départ du plus grand rassemblement du sport automobile amateur. 26 équipages de la Ligue Rhône-Alpes ont validé leur billet dont trois Savoyards.

Patrice Bonnefond et Sévérine Chamiot-Maitral au volant de la Porsche 991 vue cette année à la 2e place à la Côte Chalonnaise, 3e à Faverges, 5e aux Bornes et 6e au Gier et aux vins de Mâcon. Il s'agira de la 6e finale de Coupe de France pour le Beaufortain après l'Ile Rousse en 2005 (2e N3), Dunkerque en 2009 (2e A7), Saumur (2015) et des succès de classe du coté d'Anglet en 2010 (1e A7) avec la 206 RC et de Lunéville en 2016 (1er F2/14) avec la 206 S16.
A noter que le pilote du Beaufortain sera, samedi, au départ du 10e rallye VHC des Bauges avec une R5 GT Turbo.

Six rallyes, six victoires en FR6 cette année pour Alexandre Villiod qualifié en sa qualité de vainqueur du trophée FR6 de la zone Nord-Est à la faveur de victoires en Lorraine et à la plaine des Vosges. Le pilote de Seez a ajouté trois succès dans les manches du championnat de France (Vosges Grand-Est, Mont-Blanc et Cœur de France) dans le cadre de la Stellantis Cup France ainsi qu’une victoire au rallye Suisse Normande.
A noter qu’Alexandre Villiod et Maelle Casays seront, ce week-end, à Millau, au départ du rallye terre des Cardabelles (6e et avant-dernière manche du championnat de France terre) sur la Clio Rally5

Thomas Parisi et Melvin Degouilles seront aussi de la fête avec la 208 en FR6. Troisième de la zone Sud-Est ils prendront, samedi et dimanche, le départ du 40e rallye des Bauges.
Champion de Ligue, Lucas Darmezin a décliné l’invitation après sa sortie de route au rallye du Mont-Blanc.
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COUPE DE FRANCE (Finale) : 26 Rhônalpins dont 3 Savoyards à Lisieux

Le Pays d’Auge,  La Normandie et Lisieux accueilleront pour la première fois de leur histoire la finale de la Coupe de France des rallyes du 16 au 18 octobre prochains. 236 équipages seront au départ du plus grand rassemblement du sport automobile amateur. 26 équipages de la Ligue Rhône-Alpes  ont validé leur billet dont trois Savoyards.

Patrice Bonnefond et Sévérine Chamiot-Maitral au volant de la Porsche 991 vue cette année à la 2e place à la Côte Chalonnaise, 3e à Faverges, 5e aux Bornes et 6e au Gier et aux vins de Mâcon. Il sagira de la 6e finale de Coupe de France pour le Beaufortain après lIle Rousse en 2005 (2e N3), Dunkerque en 2009 (2e A7), Saumur (2015) et des succès de classe du coté dAnglet en 2010 (1e A7) avec la 206 RC et de Lunéville en 2016 (1er F2/14) avec la 206 S16.
A noter que le pilote du Beaufortain sera, samedi, au départ du 10e rallye VHC des Bauges avec une R5 GT Turbo.

Six rallyes, six victoires en FR6 cette année pour Alexandre Villiod qualifié en sa qualité de vainqueur du trophée FR6 de la zone Nord-Est à la faveur de victoires en Lorraine et à la plaine des Vosges. Le pilote de Seez a ajouté trois succès dans les manches du championnat de France (Vosges Grand-Est, Mont-Blanc et Cœur de France) dans le cadre de la Stellantis Cup France ainsi qu’une victoire au rallye Suisse Normande.
A noter qu’Alexandre Villiod et Maelle Casays seront, ce week-end, à Millau, au départ du rallye terre des Cardabelles (6e et avant-dernière manche du championnat de France terre) sur la Clio Rally5

Thomas Parisi et Melvin Degouilles seront aussi de la fête avec la 208 en FR6. Troisième de la zone Sud-Est ils prendront, samedi et dimanche, le départ du 40e rallye des Bauges.
Champion de Ligue, Lucas Darmezin a décliné l’invitation après sa sortie de route au rallye du Mont-Blanc.Image attachmentImage attachment
3 jours avant

40e RALLYE DES BAUGES – 2011/2015 – Gherardi et Pezzutti font de la résistance

2011 - « J’avais à cœur de bien figurer mais aussi de rentrer la voiture au parc sans dommage car elle est vendue depuis la semaine dernière » confiait l’Annécien pas mécontent d’avoir préservé les 4’’3 sur Gilles Nantet le seul a lui avoir tenu la dragée haute durant tout le week-end. Victime d’une double fracture du péroné droit cet été en vidant un camion-benne à la déchetterie, Giraldo qui avait repris victorieusement aux Mauves-Plats conclu une année remarquable poncturée de cinq succès en sept sorties (2e à Beaufort, abandon sur problèmes mécaniques au Brionnais)

2012 - Le vainqueur est nouveau. Le podium aussi. L’édition 2012 du rallye des Bauges s’est finalement révélée conforme aux attentes et à la hiérarchie établie le samedi au terme des trois premiers secteurs chronométrés. Gherardi, le pilote du plateau du Retord bien implanté dans la vallée des Belleville via son travail fait le plein de points pour lancer son opération qualification en vue de la finale de la coupe 2013. à Oyonnax. Sa seule venue dans les Bauges se sera soldée par une victoire tout comme sa seule finale de Coupe de France victorieuse en 2013 du côté d’Oyonnax.

le chiffre : 32,66 - Le pourcentage d’abandons avec 49 voitures, sur les 150 au départ, qui n’ont pas rallié le parc fermé d’arrivée

2013 - S’il est un équipage qui n’a pas été trop perturbé par les conditions météorologiques particulièrement délicates c’est bien Michel et Marielle Giraldo. Venu préparer la finale de la Coupe de France d’Oyonnax le couple annécien s’est joué sans trop de difficultés des trombes d’eau le samedi et des routes particulièrement sales le dimanches. Exception faite de deux temps scratch concédés à Cara et à Joram, Giraldo s’est contenté de contrôler la situation avec un oeil toutefois dans le rétroviseur pour surveiller la prestation de Thierry Joram de retour aux affaires avec la M3.

2014 - Un seul temps scratch dans l’ES 1 pour deux petits dixièmes de seconde face à Giraldo et Benjamin Perrin aura finalement suffi à Yves Pezzutti pour signer son 3e succès dans les Bauges, son 3e également de la saison. Le Lyonnais qui aura donc partagé temps scratch avec Perrin (2), Ludo Bogey (2), Giraldo (1) et Badel (1) et positions de leader avec Giraldo et Bogey s’offre au final, un succès assez confortable sur Perrin, le vainqueur de la Chartreuse et un Patrice Bonnefond qui aura multiplié les bonnes performances au volant de la 206 CC

L’anecdote - Quatorze ans après sa victoire à Faverges et une 2e place à l’Epine avec la R5 Turbo, Jean-Louis Neveu est de retour sur une BMW M3. C’est le cas aussi pour Raphaël Michaud que l’on n’avait pas revu depuis sa 6e place à la finale d’Oyonnax et de Jean-Claude Mouchet qui a ressorti, pour la circonstance, la R5 GT. Une première depuis 2009

2015 - Pour célébrer son 30e anniversaire, le rallye des Bauges s’offre de nouveau une distribution de luxe. Michel Giraldo avait même envisagé de s’aligner avec la Porsche chère à Gilles Nantet mais le nouveau règlement l’en a empêché, la machine n’ayant plus sa place dans les rallyes régionaux et nationaux pour une sombre histoire de coefficient de turbo. Du coup c’est avec la 207 S2000 victorieuse à sept reprises sur 8 sorties que l’Annécien s’impose pour le 5e fois a Aillon-le-Jeune.

Le chiffre : 101 - En kilomètre/heure la moyenne de Michel et Marielle Giraldo sur l’ensemble du week-end avec une moyenne de 130,2 km/h sur les 5,2 km de l’ES 1 entre Lescheraines et Arith où Yves Pezzutti a signé le record à 130.8 km/h.

A suivre: 40e rallye des Bauges 2016/2024 : Bochatay de père en fils
Rallye des BaugesLigue du Sport Automobile Rhône-Alpes
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40e RALLYE DES BAUGES – 2011/2015 – Gherardi et Pezzutti font de la résistance

2011 - « J’avais à cœur de bien figurer mais aussi de rentrer la voiture au parc sans dommage car elle est vendue depuis la semaine dernière » confiait l’Annécien pas mécontent d’avoir préservé les 4’’3 sur Gilles Nantet le seul a lui avoir tenu la dragée haute durant tout le week-end. Victime d’une double fracture du péroné droit cet été en vidant un camion-benne à la déchetterie, Giraldo qui avait  repris victorieusement aux Mauves-Plats conclu une année remarquable poncturée de cinq succès en sept sorties (2e à Beaufort, abandon sur problèmes mécaniques au Brionnais)

2012 - Le vainqueur est nouveau. Le podium aussi. L’édition 2012 du rallye des Bauges s’est finalement révélée conforme aux attentes et à la hiérarchie établie le samedi au terme des trois premiers secteurs chronométrés. Gherardi, le pilote du plateau du Retord bien implanté dans la vallée des Belleville via son travail fait le plein de points pour lancer son opération qualification en vue de la finale de la coupe 2013. à Oyonnax. Sa seule venue dans les Bauges se sera soldée par une victoire  tout comme sa seule finale de Coupe de France victorieuse en 2013 du côté d’Oyonnax.

le chiffre : 32,66 - Le pourcentage d’abandons avec 49 voitures, sur les 150 au départ, qui n’ont pas rallié le parc fermé d’arrivée 

2013 - S’il est un équipage qui n’a pas été trop perturbé par les conditions  météorologiques particulièrement délicates c’est bien Michel et Marielle Giraldo. Venu préparer la finale de la Coupe de France d’Oyonnax le couple annécien s’est joué sans trop de difficultés des trombes d’eau le samedi et des routes particulièrement sales le dimanches. Exception faite de deux temps scratch concédés à Cara et à Joram,  Giraldo s’est contenté de contrôler la situation avec  un oeil toutefois dans le rétroviseur pour surveiller la prestation de Thierry Joram de retour aux affaires avec la M3. 

2014 - Un seul temps scratch dans l’ES 1 pour deux petits dixièmes de seconde face à Giraldo et Benjamin Perrin aura finalement suffi à Yves Pezzutti pour signer son 3e succès dans les Bauges, son 3e également de la saison. Le Lyonnais qui aura donc partagé  temps scratch avec Perrin (2), Ludo Bogey (2), Giraldo (1) et Badel (1) et positions de leader avec Giraldo et Bogey s’offre au final, un succès assez confortable sur Perrin, le vainqueur de la Chartreuse et un Patrice Bonnefond  qui aura multiplié les bonnes performances au volant de la 206 CC 

L’anecdote - Quatorze ans après sa victoire à Faverges et une 2e place à l’Epine avec la R5 Turbo, Jean-Louis Neveu est de retour sur une BMW M3. C’est le cas aussi pour Raphaël Michaud que l’on n’avait pas revu depuis sa 6e place à la finale d’Oyonnax et de Jean-Claude Mouchet qui a ressorti, pour la circonstance, la R5 GT. Une première depuis 2009

2015 - Pour célébrer son 30e anniversaire, le rallye des Bauges s’offre de nouveau une distribution de luxe. Michel Giraldo avait même envisagé de s’aligner avec la Porsche chère à Gilles Nantet mais le nouveau règlement l’en a empêché, la machine n’ayant plus sa place dans les rallyes régionaux et nationaux pour une sombre histoire de coefficient de turbo. Du coup c’est avec la 207 S2000 victorieuse à sept reprises sur 8 sorties que l’Annécien s’impose pour le 5e fois a Aillon-le-Jeune. 

Le chiffre : 101 - En kilomètre/heure la moyenne de Michel et Marielle Giraldo sur l’ensemble du week-end avec une moyenne de 130,2 km/h sur les 5,2 km de l’ES 1 entre Lescheraines et Arith où Yves Pezzutti a signé le record à 130.8 km/h.

A suivre: 40e rallye des Bauges 2016/2024 : Bochatay de père en fils
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3 jours avant

40e RALLYE DES BAUGES – 2006/2010 – Nantet comble un manque

2006 - Sa 2e tentative aura été finalement la bonne. En quinze ans de carrière Gilles Nantet avait quasiment tout gagné dans le comité Rhône-Alpes. Tout... sauf les Bauges. Ouvreur à deux reprises (2000 et 2005) le pilote de Petit Cœur débarquait aux Aillons dans le costume de favori à la faveur de 5 succès depuis le début de l’année. Un rang qu’il allait tenir avec autorité même si Giraldo lui vola la vedette le temps de signer le temps de référence dans l’ES 1 puis dans l’ultime chrono pour compléter le podium à 1’’9 de Pezzutti.

Le chiffre : 9 - Neuf équipages féminins étaient au départ et autant à l’arrivée. Karine Desmaris et Agnès Montagnon s’imposent. Catherine Damevin et Corinne Murcia formaient un duo inédit.

2007 - Il n’aura pas eu besoin de « dégoupiller » comme il se plait parfois à dire quand la bagarre fait rage. Sur les routes des Bauges, Gilles Nantet, sacré champion de France du groupe F une semaine auparavant à Mende à la faveur d’une 6e place à la finale de la Coupe de France, a juste eu besoin de contrôler. Fort de 8 secondes d’avance samedi soir, Nantet n’aura donc cessé d’augmenter son avance signant même dans l’ultime chrono un nouveau temps de référence (qu’il détenait déjà) sur les 5,4 km d’Arith parcourus en 3’14’’70 (contre 3’16’’ en 2006).

2008 - Yves Pezzutti est un homme de parole. A Joël Arnaud, qui, à l’entame du dernier tour lui demandait s’il allait tenter quelque chose pour compenser les 2’’30 de retard qui le séparait alors du leader Patrice Bonnefond, le pilote répondait sans hésiter par l’affirmative. Quatre kilomètres plus loin et 2’39’’90 plus tard le Lyonnais avait pris le commandement de l’épreuve et disposait de 90/100e sur le pilote des Saisies. Certes le rallye n’était pas joué mais Pezzutti qui avait, pour la première fois du week-end, les cartes en mains profitait des 5,4 derniers kilomètres pour inscrire une seconde fois son nom au palmarès de l’épreuve baujue et Bonnnefond pour se contenter, une 2e année consécutive, de la 2e place

2009 - 215 demandes d’engagement, jamais un régional n’avait connu un tel engouement et un tel plateau avec pour la première fois des S2000 confrontées à ce qui se fait de mieux dans le comité Rhône-Alpes. Le dimanche matin cinq « pointures » Ludovic Bogey, Arnaud, Nicolas Bogey, Rodriguez et Gilbert alors leader du groupe N écopent d’une minute de pénalité pour avoir « chauffer » leurs pneus et dégringolent au classement. Nouveau leader Michel Giraldo entend bien savourer sa première victoire de la saison après une année galère et contient à distance le quatuor de furieux, Monnet, Retaux, Bonnefond et Damevin.

Le chiffre : 29 - Le groupe F2000 fait recette avec pas moins de 47 engagés dont pas moins de 29 dans la seule classe F2/14, celle du vainqueur Michel Giraldo avec la 206 S16.

2010 - Débutée dans la confusion la plus totale après les pénalités infligées à dix pilotes pour avoir « chauffé leurs freins » la 25e édition s’est achevée dans la liesse pour saluer la victoire incontestable d’Arnaud Monnet qui a dominé les débats du premier au dernier kilomètre (signant trois nouveaux chronos de référence dans Bourchigny, Arith et les Aillons) Il s’agissait de la 4e apparition de l’Isérois dans les Bauges (2e en 2009) son 11e rallye de l’année au cours de laquelle il a alterné avec réussite entre la 306 Maxi (3e au Baldo, 2e en Chartreuse) et la 207 S2000 (3e à l’Epine, victoire au Saint Marcellin et 2e au Suran.
Rallye des BaugesLigue du Sport Automobile Rhône-Alpes
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40e RALLYE DES BAUGES – 2006/2010 – Nantet comble un manque

2006 - Sa 2e tentative aura été finalement la bonne. En quinze ans de carrière Gilles Nantet avait quasiment tout gagné dans le comité Rhône-Alpes. Tout... sauf les Bauges. Ouvreur à deux reprises (2000 et 2005) le pilote de Petit Cœur débarquait aux Aillons dans le costume de favori à la faveur de 5 succès depuis le début de l’année. Un rang qu’il allait tenir avec autorité même si Giraldo lui vola la vedette le temps de signer le temps de référence dans l’ES 1 puis dans l’ultime chrono pour compléter le podium à 1’’9 de Pezzutti.  

Le chiffre : 9 - Neuf équipages féminins étaient au départ et autant à l’arrivée. Karine Desmaris et Agnès Montagnon s’imposent. Catherine Damevin et Corinne Murcia formaient un duo inédit.

 2007 -  Il n’aura pas eu besoin de « dégoupiller » comme il se plait parfois à dire quand la bagarre fait rage. Sur les routes des Bauges, Gilles Nantet, sacré champion de France du groupe F une semaine auparavant à Mende à la faveur d’une 6e place à la finale de la Coupe de France, a juste eu besoin de contrôler. Fort de 8 secondes d’avance samedi soir, Nantet n’aura donc cessé d’augmenter son avance signant même dans l’ultime chrono un nouveau temps de référence (qu’il détenait déjà) sur les 5,4 km d’Arith parcourus en 3’14’’70 (contre 3’16’’ en 2006).

2008 - Yves Pezzutti est un homme de parole. A Joël Arnaud, qui, à l’entame du dernier tour lui demandait s’il allait tenter quelque chose pour compenser les 2’’30 de retard qui le séparait alors du leader Patrice Bonnefond, le pilote répondait sans hésiter par l’affirmative. Quatre kilomètres plus loin et  2’39’’90 plus tard le Lyonnais avait pris le commandement de l’épreuve et disposait de 90/100e sur le pilote des Saisies. Certes le rallye n’était pas joué mais Pezzutti qui avait, pour la première fois du week-end, les cartes en mains profitait des 5,4 derniers kilomètres pour inscrire une seconde fois son nom au palmarès de l’épreuve baujue et Bonnnefond pour se contenter, une 2e année consécutive, de la 2e place

2009 - 215 demandes d’engagement, jamais un régional n’avait connu un tel engouement et un tel plateau avec pour la première fois des S2000 confrontées à ce qui se fait de mieux dans le comité Rhône-Alpes. Le dimanche matin cinq « pointures » Ludovic Bogey, Arnaud, Nicolas Bogey, Rodriguez  et Gilbert alors leader du groupe N écopent d’une minute de pénalité pour avoir « chauffer » leurs pneus et dégringolent au classement. Nouveau leader Michel Giraldo entend bien savourer sa première victoire de la saison après une année galère et  contient à distance le quatuor de furieux, Monnet, Retaux, Bonnefond et Damevin. 

Le chiffre : 29 - Le groupe F2000 fait recette avec pas moins de 47 engagés dont pas moins de 29 dans la seule classe F2/14, celle du vainqueur Michel Giraldo avec la 206 S16.

2010 -  Débutée dans la confusion la plus totale après les pénalités infligées à dix pilotes pour avoir « chauffé leurs freins » la 25e édition s’est achevée dans la liesse pour saluer la victoire incontestable d’Arnaud Monnet qui a dominé les débats du premier au dernier kilomètre (signant trois nouveaux chronos de référence dans Bourchigny, Arith et les Aillons) Il s’agissait de la 4e apparition de l’Isérois dans les Bauges (2e en 2009) son 11e rallye de l’année au cours de laquelle il a alterné  avec réussite entre la 306 Maxi (3e au Baldo, 2e en Chartreuse) et la 207 S2000 (3e à l’Epine, victoire au Saint Marcellin et 2e au Suran.
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4 jours avant

40e RALLYE DES BAUGES – Les neuf travaux de Giraldo

Il est le recordman de victoires aux Bauges (9), de podiums (12), de temps scratch (59) et de positions de leader (60). Un coup d’œil dans le rétro sur les neuf succès de Michel Giraldo.

1997— Giraldo prend part à son 7e rallye des Bauges dont quatre se sont soldés par des abandons. Malgré des 4e et 5e places à Faverges et à la Matheysine avec la Clio l’Annécien est toujours en quête d’un gros coup en cette saison 97. Il le réalise aux Bauges au volant de la Maxi Mégane des ateliers Automéca qu’il est le premier à faire triompher sur les routes d’un rallye régional. C’est aussi sa toute première victoire au classement scratch en 91 départs.

2009— Depuis son succès de 1997 Michel Giraldo n’est revenu que quatre fois dans les Bauges où il complète le podium en 2006 avec la Clio S 1600 (2e A / 1er A6). Depuis 2007 l’Annécien roule sur la 206 S16 déjà victorieuse à 8 reprises mais pas encore en 2009. Après un début d’année prometteur (2e à Faverges et à Beaufort) sa saison est perturbée par des ennuis mécaniques (crevaison, goujons de roue). Si Frédéric Retaux, Gilles Nantet et Ludovic Bogey se révélaient en début de rallye, Giraldo prenait les commandes le dimanche pour ne plus les céder et signer, douze ans après un second succès dans les Bauges.

2011— Après quatre saisons avec la 206 S 16, Giraldo a opté pour la Mégane Maxi. Avec succès avec quatre victoires (Faverges, Chambost, Matheysine et Mauves-Plats (2e a Beaufort) en six rallyes qui lui confèrent le statut de favori que seul Gilles Nantet sera en mesure de lui contester jusqu’au bout avec la BMW 318 compact échouant pour 4’’7 alors que la version M3 de Crozet était reléguée à 1’03’’9 pour venir compléter le podium.

2013—Encore une saison très chargée pour Michel Giraldo dont le rallye des Bauges constitue le 13e départ depuis le début de l’année marquée par un changement de monture puisque c’est au volant d’une 306 Maxi que l’Annécien a collectionné les victoires (8). A une semaine de la finale de la Coupe de France d’Oyonnax ce rendez-vous bauju constitue la répétition idéale. Même s’il laisse deux spéciales à Carra et Joram, l’Annécien maîtrise parfaitement son sujet pour signer un 4e succès.

2015—Les années impaires sont décidemment celles de Michel Giraldo. Après 97, 2009, 2011 et 2013, l’Annécien conclut 2015 par un nouveau succès dans les Bauges , son 8e de l’année sur la 207 S 2000 qui a déjà fait ses preuves avec Bryan Bouffier (victoires en IRC et aux Cévennes, 2e au Var, 3e au Mont-Blanc en 2010) et Philippe Greiffenberg (1er au Montbrisonnais en 2011). Exception faite de Faverges (2e à 8’’2 de Chavanne) personne n’a résisté à la famille Giraldo en 2015

2016—Comment qualifier la saison 2016 de Michel Giraldo sinon d’exceptionnelle. 9 victoires en neuf rallyes, cinq sur la 207 S 2000 et quatre avec la Fiesta R5 déjà conduite avec succès en Chartreuse portant à 72,09 son pourcentage de victoires (31/43) au cours des quatre dernières années.

2017—Vingt ans après le premier de ses six succès dans les Bauges Michel Giraldo se présente de nouveau au départ d’Aillon dans le costume de favori de cette 32e édition. L’Annécien dispose il est vrai qu’une voiture performante qu’il a déjà fait triompher en 2017 à la Matheysine et au Trièves et avec laquelle Fotia, Bury et Gagliasso ont également gagné à la Vésubie, au rallye Team 971 et au rallye del Tartufo. Un 7e succès malheureusement marqué par l’accident qui a coûté la vie à l’équipage Josserand—Mercuri, conduisant l’arrêt du rallye après l’ES 5

2018 : Pour la première fois depuis 2001 le programme de Giraldo s’est résumé à six rallyes cette année dont deux marqués par des abandons (au Beaufortain et à Ain-Jura (boîte de vitesses). Au sortir du Mont-Blanc, l’Annécien retrouve la Skoda avec laquelle il a signé une 8e victoire à la Matheysine et au volant de laquelle le Belge Kris Princen et le Suisse Ivan Ballinari se sont également mis en valeur. Les routes des Bauges n’ayant plus aucun secret pour Giraldo il signe les sept meilleurs chronos devant Ludovic Bogey et Cédric D’Amico.

2019: On prend les mêmes et on recommence par rapport à l’édition 2018. A la différence près que Ludovic Bogey s’est avéré un adversaire autrement plus coriace ne cédant le leadership que dans les deux derniers secteurs chronométrés pour rentrer au parc fermé avec 3’’2 seulement de retard. Un 9e succès qui couronne encore une année faste marquée par des succès à Faverges, à l’Epine-Mont-du-Chat et une 2e place au Savoie Chautagne à 6’’7 de la Skoda de Romain Guillerot.

A suivre : 40e Rallye des Bauges 2006/2015. Nantet comble un vide
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40e RALLYE DES BAUGES – Les neuf travaux de Giraldo

Il est le recordman de victoires aux Bauges (9), de podiums (12), de temps scratch (59) et de positions de leader (60). Un coup d’œil dans le rétro sur les neuf succès de Michel Giraldo.

1997— Giraldo prend part à son 7e rallye des Bauges dont quatre se sont soldés par des abandons. Malgré des 4e et 5e places à Faverges et à la Matheysine avec la Clio l’Annécien est toujours en quête d’un gros coup en cette saison 97. Il le réalise aux Bauges au volant de la Maxi Mégane des ateliers Automéca qu’il est le premier à faire triompher sur les routes d’un rallye régional. C’est aussi sa toute première victoire au classement scratch en 91 départs. 

2009— Depuis son succès de 1997 Michel Giraldo n’est revenu que quatre fois dans les Bauges où il complète le podium en 2006 avec la Clio S 1600 (2e A / 1er A6). Depuis 2007 l’Annécien roule sur la 206 S16 déjà victorieuse  à 8 reprises mais pas encore en 2009. Après un début d’année prometteur (2e à Faverges et à Beaufort) sa saison  est perturbée par des ennuis mécaniques (crevaison, goujons de roue).  Si Frédéric Retaux, Gilles Nantet et Ludovic Bogey se révélaient en début de rallye, Giraldo prenait les commandes le dimanche pour ne plus les céder et signer, douze ans après un second succès dans les Bauges.

2011— Après quatre saisons avec la 206 S 16, Giraldo a opté pour la Mégane Maxi. Avec succès avec quatre victoires (Faverges, Chambost, Matheysine et Mauves-Plats (2e a Beaufort) en six rallyes qui lui confèrent le statut de favori que seul Gilles Nantet sera en mesure de lui contester jusqu’au bout avec la  BMW 318 compact  échouant pour 4’’7 alors que la version M3 de Crozet était reléguée à 1’03’’9 pour venir compléter le podium.

2013—Encore une saison très chargée pour Michel Giraldo dont le rallye des Bauges constitue le 13e départ depuis le début de l’année marquée par un changement de monture puisque c’est au volant d’une 306 Maxi que l’Annécien  a collectionné les victoires (8). A une semaine de la finale de la Coupe de France d’Oyonnax ce rendez-vous bauju constitue la répétition idéale. Même s’il laisse deux spéciales à Carra et Joram,  l’Annécien maîtrise parfaitement son sujet pour signer un 4e succès.

2015—Les années impaires sont décidemment celles de Michel Giraldo. Après 97, 2009, 2011 et 2013, l’Annécien conclut 2015 par un nouveau succès dans les Bauges , son 8e de l’année sur la 207 S 2000 qui a déjà fait ses preuves avec Bryan Bouffier (victoires en IRC et aux Cévennes, 2e au Var, 3e au Mont-Blanc en 2010) et Philippe Greiffenberg (1er au Montbrisonnais en 2011). Exception faite de Faverges (2e à 8’’2 de Chavanne) personne n’a résisté à la famille Giraldo en 2015

2016—Comment qualifier la saison 2016 de Michel Giraldo sinon d’exceptionnelle. 9 victoires en neuf rallyes, cinq sur la 207 S 2000 et quatre avec la Fiesta R5 déjà conduite avec succès en Chartreuse portant à 72,09 son pourcentage de victoires (31/43) au cours des quatre dernières années. 

2017—Vingt ans après le premier de ses six succès dans les Bauges Michel Giraldo  se présente de nouveau au départ d’Aillon dans le costume de favori de cette 32e édition. L’Annécien dispose il est vrai qu’une voiture performante qu’il a déjà fait triompher en 2017 à la Matheysine et au Trièves et avec laquelle Fotia, Bury et Gagliasso ont également gagné à la Vésubie, au rallye Team 971 et au rallye del Tartufo. Un 7e succès malheureusement marqué par l’accident qui a coûté la vie à l’équipage Josserand—Mercuri, conduisant l’arrêt du rallye après l’ES 5

2018 : Pour la première fois depuis 2001 le programme de Giraldo s’est résumé à six rallyes cette année dont deux marqués par des abandons (au Beaufortain et à Ain-Jura (boîte de vitesses).  Au sortir du Mont-Blanc, l’Annécien retrouve la Skoda avec laquelle il a signé une 8e victoire à la Matheysine et au volant de laquelle le Belge Kris Princen et le Suisse Ivan Ballinari se sont également mis en valeur. Les routes des Bauges n’ayant plus aucun secret pour Giraldo il signe les sept meilleurs chronos devant Ludovic Bogey et Cédric D’Amico.

2019: On prend les mêmes et on recommence par rapport à l’édition 2018. A la différence près que Ludovic Bogey s’est avéré un adversaire autrement plus coriace ne cédant le leadership que dans les deux derniers secteurs chronométrés pour rentrer au parc fermé avec 3’’2 seulement de retard. Un 9e succès qui couronne encore une année faste marquée par des succès à Faverges, à l’Epine-Mont-du-Chat et une 2e place au Savoie Chautagne à 6’’7 de la Skoda de Romain Guillerot.

A suivre : 40e Rallye des Bauges 2006/2015. Nantet comble un videImage attachmentImage attachment+Image attachment
5 jours avant

40e RALLYE DES BAUGES – 2001/2005 – La victoire en partage

2001 - Après le record de participation en 2000 avec 166 équipages au départ, le rallye enregistre un nouveau record en 2001 avec 43,5 kilomètres se secteurs chronométrés répartis sur deux spéciales à effectuer à quatre reprises. Après une saison où il alterna le bon et le moins bon Bochatay arrive aux Bauges pour oublier ses casses de cardan à répétition. Parti prudemment il passe la vitesse supérieure le dimanche pour distancer Damevin de 6’’ et Minoret de 11e et signer un second succès à Aillon après celui de 1998.

L’anecdote - Fait assez rare, six pilotes (Bochatay, Damevin, Crozet, Rodriguez, Morel, et Perrin) se sont partagés le chrono de référence dans l’ES 4 (Attily (2)

2002 - D’ordinaire rendez-vous de la mi-octobre, le rallye des Bauges se dispute pour la première fois en septembre. Huit jours plus tôt au national du Suran à Bourg-en-Bresse il collait les secondes par dizaines à ses adversaires. Dans les Bauges, dans un véritable sprint, c’est par une ou deux unités que Cyrille Garcin a creusé l’écart et construit sa victoire. Ce succès constitue le 6e de la saison pour le Lyonnais. Marc Viand qui l’accompagnait à droite remporte pour sa part son 16e succès après les 14 avec Daniel Girardon

2003 - C’est forcément tout sourire que Pascal Damevin est rentré au parc fermé. Enfin oubliés les accessits au Velay, à la Caillette, au Paul Friedman, à l’Epine ou au Gap Racing. Oubliée cette 30e place à la finale de la Coupe de France à Limoges. Pour son 61e départ il hisse sa voiture à la première place d’un classement scratch. Et ce au terme d’un haletant chassé-croisé en tête avec la 306 Maxi de Michel Bonfils écartée de la gagne pour… une seconde.

L’anecdote : Appelées à disparaître à la fin de l’année les voitures du Groupe F ne voulaient pas rater leur sortie aux Bauges où elles comptaient 12 victoires en dix-sept éditions. Le compteur restera bloqué à douze.

2004 - Figure emblématique des rallyes en Rhône-Alpes, Yves Pezzuti, prend son 6e départ au rallye des Bauges. Ce rallye constitue son 15e départ de l’année et pour lui comme pour Corinne Murcia et la Clio RS une ultime répétition avant la finale de la Coupe de France des rallyes à Epernay. Dauphin de Bonfils pour 7 dixièmes au départ de l’ultime chrono « Pezut » signe son 4e temps scratch de rang de la journée et s’impose pour 1’’6. Pour la 2e année consécutive Michel Bonfils termine à la 2e place et pour la 2e fois à 1’’ du vainqueur.

Le chiffre 39 : Présente sans discontinuer sur le podium au cours des 18 premières éditions du rallye des Bauges, la R5 Turbo s’offre une 39e et dernière « boîte » grâce à Patrice Bonnefond et Séverine Chamiot-Maîtral qui mènent leur « Tour de Corse » à la 3e place du scratch.

2005 - Enfin ! Pourrait-on dire. Le temps d’ôter son casque et de ranger sa voiture à proximité du podium protocolaire et Christian Crozet pouvait enfin savourer. Une satisfaction mesurée à l’image du pilote auquel la victoire fuyait depuis plus de quatre ans.

Le fait - Après huit ans dans les pelotons cyclistes professionnels ponctués d’une victoire au Tour de Lombardie (90), d’une étape du Tour de France (92) dont il fut le meilleur jeune en 90 (15e), Gilles Delion a entrepris en 2004 une reconversion comme pilote de rallye. Le voilà aux Bauges 2005 au départ de son 12e rallye au volant d’une Saxo VTS qu’il vient de conduire à la 23e place en Chartreuse et sur le podium de la classe A6 au Paul Friedman. Il terminera 35e et reviendra en 2007.

A suivre : Les neuf travaux de Giraldo
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40e RALLYE DES BAUGES – 2001/2005 – La victoire en partage

2001 - Après le record de participation en 2000 avec 166 équipages au départ, le rallye enregistre un nouveau record en 2001 avec 43,5 kilomètres se secteurs chronométrés répartis sur deux spéciales à effectuer à quatre reprises. Après une saison où il alterna le bon et le moins bon Bochatay arrive aux Bauges pour oublier ses casses de cardan à répétition. Parti prudemment il passe la vitesse supérieure le dimanche pour distancer Damevin de 6’’ et Minoret de 11e  et signer un second succès à Aillon après celui de 1998.

L’anecdote - Fait assez rare, six pilotes  (Bochatay, Damevin, Crozet, Rodriguez, Morel,  et Perrin) se sont partagés le chrono de référence dans l’ES 4 (Attily (2) 

2002 - D’ordinaire rendez-vous de la mi-octobre, le rallye des Bauges se dispute pour la première fois en septembre. Huit jours plus tôt au national du Suran à Bourg-en-Bresse il collait les secondes par dizaines à ses adversaires. Dans les Bauges, dans un véritable sprint,  c’est par une ou deux unités que Cyrille Garcin a creusé l’écart et construit sa victoire.  Ce succès constitue le 6e de la saison pour le Lyonnais. Marc Viand qui l’accompagnait à droite remporte pour sa part son 16e succès après les 14 avec Daniel Girardon

2003 - C’est forcément tout sourire que Pascal Damevin est rentré au parc fermé. Enfin oubliés les accessits au Velay, à la Caillette, au Paul Friedman, à l’Epine ou au Gap Racing. Oubliée cette 30e place à la finale de la Coupe de France à Limoges. Pour son 61e départ il hisse sa voiture à la première place d’un classement scratch. Et ce au terme d’un haletant chassé-croisé en tête avec la 306 Maxi de Michel Bonfils écartée de la gagne pour… une seconde. 

L’anecdote : Appelées à disparaître à la fin de l’année les voitures du Groupe F ne voulaient pas rater leur sortie aux Bauges où elles comptaient 12 victoires en dix-sept éditions. Le compteur restera bloqué à douze.

2004 - Figure emblématique des rallyes en Rhône-Alpes, Yves Pezzuti, prend son 6e départ au rallye des Bauges. Ce rallye constitue son 15e départ de l’année et pour lui comme pour Corinne Murcia et la Clio RS une ultime répétition avant la finale de la Coupe de France des rallyes à Epernay. Dauphin de Bonfils pour 7 dixièmes au départ de l’ultime chrono « Pezut » signe son 4e temps scratch de rang de la journée et s’impose pour 1’’6. Pour la 2e année consécutive Michel Bonfils  termine à la 2e place et pour la 2e fois à 1’’ du vainqueur.

Le chiffre 39 : Présente sans discontinuer sur le podium au cours des 18 premières éditions du rallye des Bauges, la R5 Turbo s’offre une 39e et dernière « boîte » grâce à Patrice Bonnefond et Séverine Chamiot-Maîtral qui mènent leur « Tour de Corse » à la 3e place du scratch. 

2005 - Enfin ! Pourrait-on dire. Le temps d’ôter  son casque et de ranger sa voiture à proximité du podium protocolaire et Christian Crozet pouvait enfin savourer. Une satisfaction mesurée à l’image du pilote auquel la victoire fuyait  depuis plus de quatre ans.

Le fait - Après huit ans dans les pelotons cyclistes professionnels ponctués d’une victoire au Tour de Lombardie (90), d’une étape du Tour de France (92) dont il fut le meilleur jeune en 90 (15e), Gilles Delion a entrepris en 2004 une reconversion comme pilote de rallye. Le voilà aux Bauges 2005 au départ de son 12e rallye au volant d’une Saxo VTS qu’il vient de conduire à la 23e place en Chartreuse et sur le podium de la classe A6 au Paul Friedman. Il terminera  35e et reviendra en 2007.

A suivre : Les neuf travaux de Giraldo
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